La Lettre de l’AFEF n° 7 – mars 2011
Actualité
Nos chroniqueurs, en ce mois de mars, se sont tous engagés autour de l’enseignement de l’orthographe, thème qui va nous réunir bientôt lors d’un rendez-vous qui s’annonce animé :
En effet, le 2 avril, nous accueillerons André Chervel, Danièle Cogis, Jacques David pour une rencontre-débat animée par Danièle Manesse sur les questions : "Quelle orthographe enseigner ? Pour qui ? Pour quoi ? Comment ?"Lire la problématique et les présentations des interventions. Trouver les informations pratiques. S’inscrire à la rencontre.
A la Une
Pour répondre aux questions éventuelles sur l’histoire et l’application des rectifications, Michel Masson sera aussi présent à cette rencontre-débat. Et c’est dans ce cadre des rectifications de 1990 que se situe Romain Muller qui, pour sa seconde chronique, aborde le sujet des numéraux. Lire la chronique de Romain Muller.
Dominique Seghetchian, en candide avertie, s’est amusée à tester et à mettre en porte-à-faux les correcteurs orthographiques. Elle nous livre les résultats de ses essais, qu’elle met en relation avec les préconisations du socle commun. "L’expérience qui inaugure ce billet me semble indiquer que les correcteurs sont utiles, mais ne sont pas des outils de formation. Ce sont au contraire des outils qui, pour être utiles, nécessitent une compétence orthographique construite."Lire le billet de Dominique Seghetchian.
Isabelle Limamireprend cette expérience sur les correcteurs orthographiques pour explorer les modes de construction de l’orthographe grammaticale."Rien ne peut remplacer la réflexion des élèves, pas même les correcteurs orthographiques qui exigent au contraire la plus haute vigilance. En effet il faut repasser derrière et corriger. C'est une aide, tout au plus mais pour des consommateurs avertis !"Lire le billet d’Isabelle Limami.