21 mars - L'oral ! Rencontre-débats de l'AFEF, avec Pierre Mathiot et Sylvie Plane, Paris. 25 avril - Transition écologique : Que peut l'école ? Organisé par le CRAP avec les Savanturiers/CRI, Paris (CRI 8 bis Rue Charles V, 75004 Paris)
Appel à contribution littéraire - Le dispositif Florilège de l'Académie de Montpellier - FLORILÈGE 2019-20 en partenariat avec la FIPF
XVème congrès mondial de la FIPF - « Le français langue de partage » - Tunisie Nabeul - juillet 2020
Compar(ais)ons en didactique des littératures - XXIèmes Rencontres des chercheur.e.s en didactique des littératures - 10-12 juin 2020 - Faculté d’Éducation - Université de Montpellier
Appel symposium AMSÉ 2020 - Contenus disciplinaires dans les outils numériques : perspective didactique - 8-11 juin 2020 Buenos-Aires
Appel à varia pour la revue Repères (Recherches en didactique du français langue maternelle - Institut Français de l’Éducation-ENS de Lyon et ENS Éditions)
Autour du Vice-Consul de Marguerite Duras, Brigitte Cassirame, éd. Publibook, version papier et numérique. Le roman Le Vice-Consul montrera qu'il est vain de vouloir trouver artificiellement des solutions à des conflits si on en ignore les profonds soubassements, ou si l'on refuse de les regarder en face. Il nous amène à porter un regard lucide et courageux sur des réalités qui nous avaient échappé et que nous pensions maîtriser jusqu'ici. Ce roman met l'accent sur une vaste interrogation de la douleur face au mal inhérent à l'homme. Il questionne autant le politique, le religieux, l'éthique que le psychanalytique. Dans cette étude littéraire, Brigitte Cassirame met en lumière la dimension visionnaire de Marguerite Duras avec cette oeuvre magistrale, « criante d'actualité ». Elle analyse avec justesse, par des choix théoriques bien définis, argumente avec finesse, tant les personnages, révélateurs d'une humanité hétéroclite, à l'instar de la mendiante, du vice-consul de Lahore et d'Anne-Marie Strette, que le métaphorisme d'une existence cacophonique où se côtoient l'indigence et l'apparat, l'injustice et la résignation, la pitié et la fascination. Les Indes, avec leur chaleur, leurs mendiants, leurs lépreux et leurs blancs coloniaux sont l'espace dans lequel déambulent des personnages névrosés, fracassés, au sein même d'une construction stylistique admirable qui bouscule la narration traditionnelle pour mieux s'adapter au chaos de la vie. Affleurent à la surface d'une écriture dédoublée, les propres secrets, désirs et hantises de la romancière qui donne vie aux oeuvres du cycle indien. Brigitte Cassirame met en exergue la description fantomatique d'un récit allusif qui conduit le lecteur à une errance dont il ne sait où elle va le conduire. Une prouesse littéraire que mène avec brio l'auteure de cette analyse puissante et richement argumentée...
Quelle place pour la culture des élèves en classe de français ? Le Français Aujourd'hui n° 207, décembre 2019. Numéro coordonné par Anissa Belhadjin et Marie-France Bishop. « La lecture et l’étude des œuvres classiques ou patrimoniales sont aux fondements de la discipline français dans l’enseignement primaire ou secondaire, général ou professionnel. Il peut donc sembler difficile d’accorder une place, même minime, aux œuvres qui ne font pas partie de ce vaste corpus, fonds commun de la culture scolaire française (Forquin 1996 ; Jey 1996 ; Chervel 1998 ; Houdart-Mérot 1998 ; Bishop-Belhadjin 2015 ; Denizot 2018 ; Louichon 2015...). Mais de quelles œuvres parle-t-on alors ? Une étiquette générique, comme celle de paralittérature, n’est pas la meilleure pour regrouper ces œuvres qui peuvent ne pas ressortir à la fiction écrite. En effet, tout comme les romans de genre, les films, les séries, les BD, les mangas, les fanfictions, les blogs, les chansons, voire les jeux vidéos, peuvent en effet avoir pour point commun d’être étudiés en classe tout en étant à la marge du corpus littéraire classique ou patrimonial. C’est donc plutôt l’étiquette plus large de culture juvénile qui nous semble mieux convenir. » Lire l’ensemble de la présentation (Articles en accès libre pour les abonnés au FA) Dialogue n° 175 - J'enseigne donc je conçois - Revue du GFEN janvier 2020 - « J'enseigne donc je conçois » éclaire les problématiques rencontrées dans l'école, l'éducation ou la formation, pour « concevoir ses pratiques ». L'apport de l'éducation nouvelle, avec l'objectif de construction du Tous capables n'est pas de proposer des recettes modélisantes pour mieux enseigner techniquement et faire mieux apprendre d'une manière qu'on puisse tout de suite évaluer. Les articles de ce Dialogue donnent à voir l'élaboration de processus d'organisation de classes, de formations, de fonctionnement professionnel, en aussi grand nombre que des constructions de démarches pédagogiques. Les rubriques de ce numéro témoignent du « pour quoi », du « comment » et « avec qui » concevoir sur le terrain...
Écrire, prescrire, interdire : les professionnels face à la littérature de aujourd'hui, Christine Mongenot & Sylviane Ahr (éds). En vente sur le site de l’AFEF - Bon de commande « L’émergence d’un champ de recherche pluridisciplinaire autour de la littérature de jeunesse est un phénomène que le colloque organisé en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France en juin 2011 a clairement confirmé. Cette rencontre, dont il a été rendu compte dans un ouvrage collectif, a révélé le foisonnement des travaux de recherche consacrés à la littérature de jeunesse, en particulier depuis son introduction dans les programmes d’enseignement de l’école primaire, ainsi que la multiplication des espaces de formation, des manifestations scientifiques et des publications qui lui sont désormais consacrés. Mais si l’on veut dépasser ce premier constat, déjà bien étayé, comment expliquer ce développement exponentiel de discours et de pratiques sociales, culturelles et scolaires autour de cet objet aux enjeux historiquement éducatifs ? On ne peut désormais se contenter d’observer et de recenser ces discours et ces pratiques hétérogènes, qui se développent dans des sphères professionnelles diverses et reposent sur des savoirs de référence eux-mêmes plus ou moins éclectiques. ».......
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