MANIFESTE D’ÉROFA
POUR UNE LANGUE FRANÇAISE ÉCRITE VIVANTE,
RATIONNELLE ET ACCESSIBLE À TOUS
MANIFESTE D’ÉROFA
POUR UNE LANGUE FRANÇAISE ÉCRITE VIVANTE,
RATIONÈLE ET ACCESSIBLE À TOUS
En écriture erofienne :
"L’association Études pour une Rationalisation de l’Ortografe Française d’Aujourd’hui (ÉROFA) après deus ans d’intéruption de ses activités du fait de la pandémie, s’est dotée d’une nouvèle équipe de direction et d’un nouveau président, Martial Maynadier, qui prend la suite de Claude Gruaz. Ce dernier, colaborateur de Nina Catach, lui succéda au CNRS et fonda ÉROFA, dont il demeure président d’oneur et membre du CA. Nina Catach, incontestable autorité en matière d’analise du sistème ortografique français, fut l’animatrice essentièle de la mise en œuvre des Rectifications impulsées en 1990 avec l’aprobation, en France, du Premier ministre, du ministère de l’Éducation nationale et de l’Académie française. Ces évolutions de l’ortografe reçurent également l’aval des autres autorités linguistiques de la francofonie.
Ces réformes se sont heurtées pourtant à une grande résistance de tous les « conservateurs » de la langue écrite qui considèrent cèle-ci come un acquis patrimonial dont chaque pièce archivée doit demeurer intouchable et inamovible." Lire la suite
En écriture actuelle (respectant les rectifications 1990) :
"L’association Études pour une Rationalisation de l’Orthographe Française d’Aujourd’hui (ÉROFA) après deux ans d’interruption de ses activités du fait de la pandémie, s’est dotée d’une nouvelle équipe de direction et d’un nouveau président, Martial Maynadier, qui prend la suite de Claude Gruaz. Ce dernier, collaborateur de Nina Catach, lui succéda au CNRS et fonda ÉROFA, dont il demeure président d’honneur et membre du CA. Nina Catach, incontestable autorité en matière d’analyse du système orthographique français, fut l’animatrice essentielle de la mise en œuvre des Rectifications impulsées en 1990 avec l’approbation, en France, du Premier ministre, du ministère de l’Éducation nationale et de l’Académie française. Ces évolutions de l’orthographe reçurent également l’aval des autres autorités linguistiques de la francophonie.
Ces réformes se sont heurtées pourtant à une grande résistance de tous les « conservateurs » de la langue écrite qui considèrent celle-ci comme un acquis patrimonial dont chaque pièce archivée doit demeurer intouchable et inamovible." Lire la suite
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